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LUMA Arles sera fermé les lundis à partir du 2 novembre 2025.

LUMA Arles sera fermé les lundis à partir du 2 novembre 2025.
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Crédits

Couleurs, formes et textures dialoguent à l'hôtel du Cloître dans un décor imaginé par India Mahdavi.
© Adrian Deweerdt

Les résidences d'artistes

Depuis 2016, ce programme invite tout au long de l’année des artistes, chercheurs, écrivains, commissaires et penseurs issus de divers horizons, afin de développer des recherches et projets en lien étroit avec leur démarche artistique.

Un programme de recherche et de création à LUMA Arles

Lancé en 2016, le programme accueille tout au long de l’année et sur invitation, artistes, penseurs.ses, chercheurs.ses, écrivains.es et commissaires d’exposition aux parcours divers, afin qu’ils ou elles puissent entamer un travail de recherche et mener à bien des projets spécifiques liés à leur pratique artistique.

Ce programme de résidence prend forme dans une ville millénaire à l’identité forte dont le territoire, marqué par un patrimoine naturel et historique singulier, attire une concentration d’acteurs culturels inédite pour une ville de taille moyenne. Il s’inscrit pleinement au sein du programme du Parc des Ateliers et s'enrichit de champs d’action aussi variés que la création contemporaine, l’environnement, l’hospitalité et l’éducation.

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Ahmet Öğüt

Ahmet Öğüt a été en résidence à LUMA Arles en automne 2016.

Né en 1981 à Silvan, Diyarbkir (Turquie). Il vit et travaille à Berlin. Ahmet Öğüt cherche constamment à créer des œuvres aux prises avec des enjeux sociaux – l’impact de l’activité économique sur le quotidien ou la réappropriation de l’outil par les travailleurs – grâce à un humour qui souligne, plus qu’il ne masque, la gravité des questions abordées.

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Sohrab Mohebbi

Sohrab Mohebbi a été en résidence à LUMA Arles de septembre à décembre 2016.

Sohrab Mohebbi est écrivain et curateur, actuellement basé à Los Angeles. Parmi ses projets curatoriaux : Hassan Khan: The Hidden Location (Queens Museum of Art, 2011), Rope-a-Dope (avec le co-curateur Gabi Ngcobo) (Cabinet, 2010). For All the Wrong Reasons (exposition des diplômés du Center for Curatorial Studies, 2010), et Strike a Pose (avec le co-curateur Özge Ersoy) pour Bidoun Projects 2010. Il a bénéficié en 2010 d’une bourse de recherche de Montehermoso pour le projet Visual Parrhesia. Ses textes ont été publiés dans Bidoun, où il est rédacteur, ainsi que dans Artforum, Art Agenda, e-flux journal et Modern Painters, entre autres. Mohebbi a été enseignant curateur au Queens Museum of Art en 2010. Il enseigne actuellement à l’Otis College of Art and Design.

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Peio Aguirre

Peio Aguirre a été en résidence à LUMA Arles de septembre à décembre 2016.

Né en 1972 à Elorrio (Espagne). Il vit et travaille à Saint-Sébastien. Peio Aguirre contribue régulièrement au magazine frieze. Commissaire indépendant, il a été en charge du pavillon espagnol de la Biennale de Venise de 2019, où il a exposé les artistes Itziar Okariz et Sergio Prego.

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Anna Colin

Anna Colin a été en résidence à LUMA Arles d’octobre à décembre 2016.

Elle vit et travaille à Londres. Anna Colin co-dirige l’Open East School à Margate (Angleterre), un espace dédié au développement artistique et à l’échange de savoirs et savoir-faire entre différentes communautés – artistiques et locales. Elle est également curatrice associée à Lafayette Anticipations –Fondation d'entreprise Galeries Lafayette à Paris.

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Annie Godfrey Larmon

Annie Godfrey Larmon a été en résidence à LUMA Arles d’octobre à décembre 2017.

Elle vit et travaille à New York. Annie Godfrey Larmon intervient régulièrement dans le magazine américain Artforum et a publié un livre sur l’artiste Ken Okiishi en 2014. Elle prépare deux ouvrages sur les artistes américaines Beverly Pepper et Mary Reid Kelley, tout en s’attelant à la rédaction de son premier roman.

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Pierre-Alexandre Mateos / Charles Teyssou

Pierre-Alexandre Mateos et Charles Teyssou ont été en résidence à LUMA Arles d’octobre 2017 à mars 2018.

Nés respectivement en 1989 et 1988 à Toulouse (France). Ils vivent et travaillent à Paris. Pierre-Alexandre Mateos et Charles Teyssou forment un duo de commissaires installés à Paris. En mai 2018, ils ont lancé le « Cruising Pavilion », une exposition interrogeant les liens entre pratiques sexuelles minoritaires et architecture, à l’occasion de la XVIe Biennale d'architecture de Venise. Ce travail a aussi fait l’objet d’une exposition à Ludlow 38, à New York, en février 2019, et s’est achevé à ArkDes, à Stockholm, en Suède, à l’automne 2019. En septembre 2018, ils ont présenté une exposition de groupe consacrée au baroque néolibéral à Converso, à Milan. Ils collaborent régulièrement à de nombreuses publications dont Flash Art et L'Officiel Art.

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Paul B. Preciado

Paul B. Preciado a été en résidence à LUMA Arles de janvier à mai 2018.

Il vit et travaille entre Paris et Barcelone. Écrivain et commissaire d’exposition, Paul B. Preciado est une figure internationalement reconnue dans le champ de la philosophie du corps, des études de genre et de la politique sexuelle. Son premier livre, Manifeste contrasexuel, est devenu une référence clef pour l’activisme européen queer et transféministe. Il est également l’auteur de Testo Junkie, Sex, Drugs and Biopolitics et Pornotopie. Il a publié en 2019 Un appartement sur Uranus, recueil de ses articles parus depuis 2013 dans le quotidien Libération. En 2020, il publie Je suis un monstre qui vous parle, issue de la conférence qu'il donne devant 3500 psychanalystes lors des journées internationales de l’École de la Cause Freudienne à Paris en 2019.
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Florentina Holzinger

Florentina Holzinger a été en résidence à LUMA Arles d'automne 2018 à pprintemps 2019.

Née à Vienne (Autriche) en 1986. Elle vit et travaille entre Vienne et Amsterdam. Les créations de Florentina Holzinger ont pour moteur la transgression identitaire, sexuelle et physique. S’inspirant aussi bien de l’actionnisme viennois, du body art et du culturisme que du ballet classique, du cabaret, voire du cirque, elle déconstruit, spectacle après spectacle, la définition même du féminin.

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Yuri Pattison

Yuri Pattison a été en résidence à LUMA Arles d’automne 2018 à hiver 2019.

Yuri Pattison est né à Dublin (Irlande) en 1986. Il vit et travaille à Londres. Frieze Artist Award 2016, Yuri Pattison utilise les technologies numériques, la vidéo et la sculpture afin de mener des recherches très poussées sur les ramifications sociales et politiques du développement accéléré des technologies et de cette densité visuelle à l’heure du tout digital. En 2018-2019, il intègre le programme de résidences d’artistes de LUMA Arles.

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Mohamed Bourouissa

Mohamed Bourouissa a été en résidence à LUMA Arles d’hiver 2018 à printemps 2019.

Né en 1978 à Blida (Algérie), Mohamed Bourouissa vit et travaille à Paris (France). Mohamed Bourouissa décrit la société contemporaine de manière implicite, par ses contours. Avec un regard critique sur l'image des médias de masse, les sujets de ses photographies et vidéos sont des laissés-pour-compte à la croisée de l'intégration et de l'exclusion. Précédé d'une longue phase d'immersion, chacun des projets de Mohamed Bourouissa construit une nouvelle situation d'énonciation. Contrairement aux constructions médiatiques faussement simplistes, l'artiste réintroduit de la complexité dans la représentation des marges d'hypervisibilité. Son travail a fait l'objet de nombreuses expositions personnelles, notamment aux Rencontres d'Arles, au Musée d'Art Moderne de la Ville de Paris, au Centre Pompidou, Paris, à la Barnes Foundation, Philadelphie, au Stedelijk Museum, Amsterdam, à la Base de Francfort-sur-le-Main, au Bal, Paris, à la Haus der Kunst, Munich et au FRAC Franche-Comté, Besançon. Il a participé aux Biennales de Sydney, Sharjah, La Havane, Lyon, Venise, Alger, Liverpool et Berlin et à la Triennale de Milan. En 2018, il a été nommé pour le prix Marcel Duchamp. En 2017, il a été sélectionné pour le prix Pictet. Ses œuvres appartiennent à des collections de premier plan, notamment celle du LACMA, du Stedelijk Museum, du Centre Pompidou, du Musée d'Art Moderne de la Ville de Paris, de l'Art Gallery of Ontario, du Philadelphia Museum of Art, de l'Istanbul Modern et de la Maison Européenne de la Photographie à Paris. Source : Kamel Mennour Gallery

Kiluanji-Kia-Henda

Kiluanji Kia Henda

Kiluanji Kia Henda a été en résidence à LUMA Arles en printemps 2019.

Né à Luanda (Angola). Il vit et travaille entre Luanda et Lisbonne. Frieze Artist Award 2017, cet artiste multimédia questionne, non sans humour dans son œuvre, le passé colonial de son pays d’origine, l’histoire des diasporas africaines en Europe et la tragédie migratoire actuelle. Dans sa pratique artistique, il se confronte aux notions d’identité, de modernité et d’engagement politique. En 2019, il fait partie du programme de résidences d'artistes de LUMA Arles.

Bengolea

Cecilia Bengolea

Cecilia Bengolea a été en résidence à LUMA Arles de mars à juin 2020.

Née en 1979 à Buenos Aires (Argentine). Cecilia Bengolea voit la performance comme une sculpture animée lui permettant de devenir en même temps objet et sujet de ses œuvres. Elle pratique tour à tour la vidéo, la performance et la sculpture. Elle étudie les formes anthropologiques archaïques et contemporaines de danse en communauté. Elle s’intéresse tout particulièrement à la façon de composer avec les symboliques et les énergies de la nature, avec les éléments et au sein d’une communauté de collaborateurs choisis, dont François Chaignaud, Craig Black Eagle et Erika Miyauichi. Elle vit et travaille à Paris.

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Flora Katz

Flora Katz a été en résidence à LUMA Arles de janvier à juin 2020.

Née en 1984 à Choisy-Le-Roi. Elle vit et travaille à Paris. Flora Katz est commissaire d'exposition à LUMA Arles et critique d’art. Docteure en philosophie de l’art (Paris 1 La Sorbonne), elle est spécialiste de l’œuvre de Pierre Huyghe. Elle a conçu des projets curatoriaux en France et à l’étranger, notamment au CIAP Vassivière, à la Fondation Ricard, aux Instants Chavirés, à Lafayette Anticipations. Précédemment, elle a travaillé à Bétonsalon – Centre d’art et de recherche et à la galerie Miguel Abreu, New York. Elle publie régulièrement dans le champ de la recherche et de l’art contemporain, notamment : « Des formes à elles-mêmes » (L’Écho du réel, Mimésis, 2021), « Penser l’extinction avec Pierre Huyghe » (Revue Critique, Les Éditions de Minuit, 2019), « An Aesthetic of the Possible », Cura, 2020), "Everything in Me that Feels, Thinks: Daniel Steegmann Mangrané" (Daniel Steegmann Mangrané, Skira, 2020). En 2024 sera publié chez Macula le livre issu de sa thèse, intitulé « Les notes de Pierre Huyghe : la fin des miroirs ».

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Jakob Kudsk Steensen

Jakob Kudsk Steensen a été en résidence à LUMA Arles de janvier à juin 2020.

Né en 1987 à Copenhague au Danemark Jakob Kudsk Steensen est un artiste qui travaille à une narration environnementale par le biais d’animations 3D et d’installations immersives et sonores. Il crée des interprétations poétiques de phénomènes naturels méconnus en collaborant avec des biologistes de terrain, des compositeurs et des écrivains. Ses projets s’appuient sur un travail de terrain approfondi. Parmi ses complices figurent, entre autres, le compositeur et directeur musical du Philip Glass Ensemble Michael Riesman, l’ornithologue et auteur Douglas H. Pratt, l’architecte Sir David Adjaye OBERA, BTS, le laboratoire d’ornithologie de Cornell et le Musée d’histoire naturelle de Londres. L’œuvre de Kudsk Steensen a récemment été exposée à la Biennale de Venise, aux galeries Serpentine à Londres, au PinchukArtCentre, à MATADERO à Madrid, au Tranen Contemporary Art Center, chez Pylon-Hub, lors de SXSW au BRIC à Brooklyn, à la Vème Biennale d’art et de technologie de Trondheim, au musée Carnegie, au MAXXI à Rome, au FRIEZE à Londres, et chez OK Corral, entre autres institutions et festivals. Kudsk Steensen était récemment artiste en résidence à LUMA Arles, où il a documenté les phénomènes liés aux algues et à la cristallisation dans le delta de Camargue.

Linda Yablonski

Linda Yablonsky

Linda Yablonsky a été en résidence à LUMA Arles en 2017

Linda Yablonsky est critique d’art, journaliste et auteure du livre The Story of Junk: A Novel. Basée à New York, elle couvre le milieu de l’art international depuis plus de 25 ans pour de nombreux magazines, notamment le New York Times et T Magazine, Bloomberg News, Artforum et Artforum.com, ainsi que Art Newspaper et W Magazine. Elle a également contribué à des essais critiques, des monographies et des catalogues d’exposition sur des artistes tels que Anish Kapoor, Keith Sonnier, Marilyn Minter, Francesco Vezzoli, Elmgreen & Dragset, Mark Morrisroe and James Nares. Pendant sa résidence à Luma Arles en 2017, elle a pu travailler sur l’ouvrage Why Jeff Koons? Premier livre complet et détaillé consacré à la vie de l’artiste et sa carrière, publié aux Etats-Unis chez Henry Holt & Co.

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Constance Debré

Constance Debré a été en résidence à LUMA Arles d'octobre à janvier 2021.

Née en 1972 à Paris. Elle a fait ses études à Henri-IV et était avocate pénaliste jusqu’en 2018. Elle a publié deux romans : Play boy (Stock, 2018) et Love Me Tender (Flammarion, 2020). Ses livres sont publiés chez Flammarion en France et chez Semiotext(e) aux USA, maison d’édition co-dirigée par Chris Kraus et Hedi El Kholti. Dans le cadre de sa résidence à Luma Arles, Constance Debré s’attelle à son prochain opus. « Le travail entamé dans ces précédents ouvrages et que j’entends ainsi poursuivre, explore la possibilité (?) d’être soi. ». Elle pose donc la question de la construction d’une identité, à travers un double mouvement, celui horizontal de la narration, et celui, en quelque sorte vertical, de l’émancipation du sujet (le narrateur) des identités : sociales, sexuelles, familiales. Construction, déconstruction, donc

Danse avec les démons, 2025, LUMA Arles, France. Precious Okoyomon, 2025 - 2464 x 3696

Precious Okoyomon

Precious Okoyomon a été en résidence à LUMA Arles d’octobre à décembre 2020.

Precious Okoyomon (né·e en 1993) est un·e poète et artiste nigérian·ne américain·e. Son travail explore le monde naturel, les récits de migrations et de racialisation, ainsi que les plaisirs purs de la vie quotidienne.

Precious Okoyomon a présenté son travail à l’occasion d’expositions individuelles à LUMA Westbau, Zurich ; Museum Für Moderne Kunst, Francfort ; Performance Space New York, New York ; Aspen Art Museum, Aspen ; Sandretto Re Rebaudengo Madrid Foundation, Madrid ; Herbert F. Johnson Museum, Ithaca ; Kunsthaus Bregenz, Bregenz. Son travail a été aussi été inclus dans la 13e Triennale balte, Tallinn ; la 58e Biennale de Belgrade, Belgrade ; la 59e Biennale de Venise, Venise ; le Okayama Art Summit 2022, Okayama ; la 11e Biennale Sequences, Reykjavik ; la Biennale de Thaïlande 2023, Chiang Rai, ainsi que dans des expositions collectives à l'Institute of Contemporary Arts, Londres ; LUMA Westbau, Zurich ; Schinkel Pavillon, Berlin ; LUMA Arles, Arles ; Palais de Tokyo, Paris ; Pavillon nigérian, 60e Biennale de Venise, Venise ; Fondation Beyeler, Bâle ; Kunsthaus Bregenz, Bregenz. Les œuvres d'Okoyomon font partie de la collection permanente du Museum Für Moderne Kunst de Francfort et de LUMA Arles. Okoyomon a reçu en 2021 le Frieze Art Fair Artist Award, ainsi que le Chanel Next Art Prize 2021. En 2024, But Did You Die, son deuxième recueil de poésie, a été coédité par The Serpentine et Wonder Press.

Sara Sadik

Sara Sadik

Sara Sadik a été en résidence à LUMA Arles de mars à juin 2021.

Sara Sadik est née en 1994 à Bordeaux et obtient en 2018 son DNSEP à l’École des Beaux-Arts de Bordeaux. Elle vit et travaille à Marseille. Elle travaille sur la jeunesse française issue des quartiers populaires et sa culture dont elle documente les arcanes et déconstruit les mythologies sociales, notamment liés à l’adolescence et aux masculinités. Son travail s’exprime dans des vidéos ou des performances, allant du documentaire à la science-fiction en passant par la télé-réalité. Son travail a été présenté dans des expositions collectives notamment à 221 A (Vancouver, 2017), à Karma International (Zurich, 2017), au Open’er Festival (Gdynia, 2017), à Roodkapje (Rotterdam, 2018), à la Wallach Gallery – University of Columbia (New-York, 2019), à la Galerie Édouard Manet (Gennevilliers, 2019), à Triangle France-Astérides (Marseille, 2021), Munchmuseet (Oslo, 2021), aux Magasins Généraux (Pantin, 2021). Ses performances ont été présentées au festival Do Disturb - programmation Triangle France–Astérides (Palais de Tokyo, Paris, 2019) et au festival Parallèle (Frac PACA et Friche Belle-de-Mai, Marseille, 2020). Son travail est également présent dans des collections publiques, notamment au Cnap, au Frac Nouvelle-Aquitaine MÉCA, au Frac PACA et au Musée d’Art Moderne de la ville de Paris. Elle est représentée par la galerie Crévecœur, Paris.

Alexandre Khondji

Alexandre Khondji

Alexandre Khondji a été en résidence à LUMA Arles de mars à juin 2021.

Né en 1993, à Paris, France. Vit et travaille entre Paris et Londres. Alexandre Khondji est artiste. Il a étudié au Bard College de New York et plus récemment au Royal College of Art à Londres. Sa pratique artistique questionne notamment le statut de l’image et de l’oeuvre à travers leurs puissances d’exposition, de manifestation. Son travail s’accompagne également d’une recherche théorique qu’il cherchera à développer pendant son temps de résidence.

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Christodoulos Panayiotou

Christodoulos Panayiotou a été en résidence à LUMA Arles de septembre à novembre 2021.

Né en 1978 à Limassol, Chypre, il vit et travaille à Limassol. Les vastes recherches de Christodoulos Panayiotou se focalisent sur l’identification et la découverte de récits cachés dans les preuves visuelles de l’histoire et du temps. Ses dernières expositions personnelles eurent lieu à la 56ème Biennale de Venise dans le cadre du pavillon chypriote, au Centre de Création contemporaine Olivier Debré, Tours; au Camden Art Centre, Londres ; au Musée d’Orsay, Paris ; à la Casa Luis Barragán, Mexico City et enfin au Moderna Museet, Stockholm. En 2019, il a collaboré à la conception de l'exposition Emma Kunz - Visionary Drawings à la Serpentine Gallery. Son travail a également été présenté dans un certain nombre d'expositions collectives, notamment : la 8e Biennale de Melle ; la 14e Biennale de Lyon ; la 13e Biennale de Sharjah ; dOCUMENTA (13), Kassel ; la 8e Biennale de Berlin ; la 7e Biennale de Liverpool ; le Hammer Museum, Los Angeles ; le Centre Pompidou, Paris ; le Museion, Bolzano ; le Migros Museum, Zürich ; CCA Wattis Institute for Contemporary Arts, San Francisco ; Fondation Joan Miro, Barcelone ; Witte de With, Rotterdam ; Bonniers Konsthall, Stockholm ; Philadelphia Museum of Art ; Ashkal Alwan Center for Contemporary Arts, Beyrouth ; Artist Space, New York ; MoCA Miami.

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Julien Creuzet

Julien Creuzet a été en résidence à LUMA Arles de novembre - décembre 2021 à avril - juin 2022.

Julien Creuzet est artiste plasticien, vidéaste, performeur et poète. Il passe l’essentiel de son enfance en Martinique. Ces premières années dans les Caraïbes, au croisement des cultures africaines, indiennes et européennes, imprègnent une œuvre où le mélange des imaginaires tient une place centrale. À travers des environnements constitués d’ensembles composites, il organise des passerelles entre les imaginaires de l’ailleurs, les réalités sociales de l’ici et les histoires minoritaires oubliées. Il a représenté la France à la Biennale de Venise en 2024.

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Maria Hassabi

Maria Hassabi a été en résidence à LUMA Arles d’avril à juillet 2022.

Née en 1973 à Chypre. Vit et travaille à Athènes. Maria Hassabi est une artiste et chorégraphe, qui pratique tout autant la performance, les installations, la sculpture, la photographie et la vidéo.Ses dernières expositions personnelles incluent Secession, Vienna (2021); Pulitzer Arts Foundation, St. Louis (2019); MUDAM, Luxembourg (2019); Centre Pompidou, Paris (2018); K20, Kunstsammlung Nordrhein-Westfalen, Düsseldorf (2017-18); Walker Art Center, Minneapolis (2017); Museum of Modern Art, New York (2016); Hammer Museum, Los Angeles (2015); The Kitchen, New York (2019, 2016, 2013, 2011, 2006); Stedelijk Museum, Amsterdam (2015); Australian Centre for Contemporary Art, Melbourne (2014); Centre d’Art Contemporain, Genève (2012); Performance Space 122, New York (2007, 2009). 

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Atheel Elmalik

Atheel Elmalik a été en résidence à LUMA Arles en septembre 2022.

Atheel Elmalik est une autrice et réalisatrice qui s’attache à rendre à l’écran la vie des Noirs et des Africains de la diaspora de manière spécifique. Elle étudie les relations d’émancipation des peuples avec la terre, mais aussi les uns avec les autres, à travers des histoires de mouvement et de migration, de guérison intergénérationnelle, et de connexion à la sensibilité du monde plus-qu’humain.

Atheel Elmalik est une chercheuse, écrivaine et réalisatrice qui s'attache à restituer à l'écran la vie de la diaspora noire et africaine avec précision. Elle s'intéresse à l'exploration des relations entre les gens et la terre, et entre eux à travers des histoires de mouvement et de migration, de guérison intergénérationnelle et de connexion à la sensibilité du monde plus qu'humain. Atheel a obtenu une licence en anthropologie à l'université de Stanford, où elle s'est concentrée sur les études africaines et les études visuelles. Elle a ensuite occupé des postes de conservatrice dans des institutions artistiques telles que le Museum of Modern Art de New York, dans le département des médias et des arts de la performance, le Studio Museum de Harlem et le Yerba Buena Center for the Arts de San Francisco. Après avoir passé les deux dernières années à assister et à gérer le studio de l'artiste Arthur Jafa à Los Angeles, elle développe actuellement son premier film narratif par le biais du studio de cinéma nouvellement créé par Jafa, SunHaus, sur lequel elle travaillera pendant son séjour à Arles.

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Shahryar Nashat

Shahryar Nashat a été en résidence à LUMA Arles en 2022 / 2023.

Shahryar Nashat est un artiste suisse qui vit et travaille à Paris. S’intéressant à nos limites physiques et aux possibilités d’extension, il traite les technologies numériques et analogiques – des LED à la pierre et à la résine moulée – comme des prothèses, des accessoires ou des doublures. Il a présenté des expositions personnelles à l’Art Institute of Chicago (2023), au Museum of Modern Art, New York (2020), au SMK-Statens Museum for Kunst, Copenhague, Danemark (2019), au Swiss Institute, New York (2019), à la Kunsthalle Basel, Bâle, Suisse (2017), à Portikus, Francfort, Allemagne (2016), et au Schinkel Pavillon, Berlin (2016).

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Ahlam Shibli

Ahlam Shibli a été en résidence à LUMA Arles en 2022 / 2023.

Née en Palestine, en 1970 Ahlam Shibli par son travail photographie et à travers une esthétique documentaire elle aborde les implications contradictoires de la notion de foyer. Elle traite de la perte du foyer et de la lutte contre cette perte, ainsi que des restrictions et limitations que l'idée de foyer impose aux individus et aux communautés marquées par des politiques identitaires répressives. Son travail a, entre autres, été présenté dans le cadre d'expositions individuelles et collectives à l'échelle internationale, notamment par Museo ICO, PHotoEspaña 2021, Madrid (2021) ; Seoul Museum of Art, Séoul (2019) ; Fotonoviembre, TEA, Santa Cruz de Tenerife (2019) ; IVAM, València (2019, 2017) ; Museum der Moderne Salzburg, Salzburg (2018) ; Darat al Funun, Amman (2018, 2016, 2013, 2011, 2010) ; Remai Modern Museum, Saskatoon (2017) ; Documenta 14, Athènes & Kassel (2017) & Documenta 12, Kassel (2007) ; SMAK, Gand (2017), Fondazione Cassa di Risparmio di Modena, Modène (2017, 2015, 2013, 2010) ; Carré d'Art, Nîmes (2015) ; Zachęta, Varsovie (2014) ; MACBA, Barcelone (2013, 2008) ; Jeu de Paume, Paris (2013) ; Museu Serralves, Porto (2103, 2010) ; Museo Reina Sofía, Madrid (2013) ; Museum of Modern Art in Warsaw, Varsovie (2013, 2010) ; Haus der Kunst, Munich (2012) ; Tate Modern, Londres (2011) ; Centre Pompidou, Paris (2008).

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Adam Linder

Adam Linder a été en résidence à LUMA Arles d'hiver à printemps 2023.

Né à Sidney, en Australie en 1983. La pratique de Linder se concentre sur les spécificités de la danse et sur la manière dont différents genres ou formes se rapportent aux notions de technologie, de désir, de valeur et de pouvoir. À l’âge de seize ans, Linder est repéré par la Royal Ballet School de Londres et quitte l’Australie afin de poursuivre une carrière de danseur. L’apprentissage initial de Linder s’étoffe au cours de ses années de formation à la Michael Clark Company et la Damaged Goods de Meg Stuart, où il élabore les éléments critiques et expérimentaux qui composent son travail chorégraphique.

Habibitich

Habibitch

Habibitch a été en résidence à LUMA Arles de janvier à février 2023.

Au croisement de plusieurs disciplines et identités, Habibitch est une artiste-activiste queer féministe décoloniale née en Algérie et basée à Paris, se construisant une pratique artistique aussi éveillée que sa politique. Utilisant des espaces allant de la scène ballroom à des festivals alternatifs ou des lieux institutionnels, les performances et prise de parole d’Habibitch sont toujours intersectionnelles, décolonisant le dancefloor partout où elle passe. Danser sa politique et politiser sa danse, punchline de vie de cette artiste couteau-suisse

Hannah-Black

Hannah Black

Hannah Black a été en résidence à LUMA Arles de septembre à décembre 2023.

Hannah Black est une artiste et écrivaine qui vit entre New York et Marseille. Ses expositions récentes comprennent « Bad Timing » à Den Frie, à Copenhague, et « 2020 », à la galerie Fitzpatrick, à Paris. Elle est l’autrice de deux livres, Tuesday or September or the End (2022) et Dark Pool Party (2016). Elle est représentée par la galerie Isabella Bortolozzi à Berlin et Arcadia Missa à Londres.

Adam Haar Horrowitz

Adam Haar

Adam Haar Horowitz a été en résidence à LUMA Arles d'octobre à décembre 2023.

Adam Haar est scientifique. Il a obtenu son doctorat au MIT, et travaille entre le MIT Media Lab et l’école médicale et le centre d’études cognitives et du sommeil d’Harvard. Il travaille à l’application des neurosciences dans des expériences et des interventions sur le sommeil et les rêves. Il est le co-inventeur de l’appareil Dormio et de la technique Targeted Dream Incubation, qui aident à modifier les rêves. Actuellement, il élabore des outils pour le traitement des cauchemars avec des psychiatres du département des Anciens combattants des États-Unis, co-organise le symposium sur l’ingénierie des rêves du MIT, axé sur l’éthique scientifique, et conçoit un Hôtel du Rêve avec l’artiste Carsten Höller. Les travaux d’Adam Haar Horowitz ont été présentés dans Nature, Science, National Academy of Sciences, Harper’s, Cannes et le Forum économique mondial.

Mati-Diop

Mati Diop

Mati Diop a été en résidence à LUMA Arles d'avril à juin 2024.

Mati Diop est née le 22 juin 1982 à Paris. Depuis le début des années 2000, elle construit une œuvre mutante primée dans de nombreux festivals internationaux. Avec son premier long-métrage Atlantique (2019), lauréat du Grand Prix du Festival de Cannes suivi de Dahomey (2024) lauréat de l’Ours d’Or de la Berlinale, elle s’est imposée comme l’une des figures majeures du cinéma d’auteur international et d’une nouvelle vague dans le cinéma africain et diasporique. Son cinéma nomade, romanesque et politique transgresse les frontières entre les genres et les formats comme une extension de sa double identité et d’une créolité revendiquée.

Elle grandit dans une famille franco-sénégalaise, entre un père musicien, Wasis Diop, et une mère photographe et acheteuse d’art. Elle est la nièce de Djibril Diop Mambéty, auteur du film culte Touki Bouki (1973). 

Le formalisme de son cinéma prend son origine dans une curiosité première pour les arts plastiques, notamment la vidéo et surtout le son. Dès l’âge de 20 ans, elle fait ses premières armes au théâtre où elle réalise des créations sonores et vidéos pour des pièces de théâtre. Elle tourne à cette époque un premier court-métrage autoproduit, Last Night (2004). En 2006, elle intègre le Pavillon, le laboratoire de création du Palais de Tokyo. Après un bref passage au Fresnoy (Studio national des arts contemporains), sa rencontre avec Claire Denis qui lui confie le premier rôle féminin du film 35 Rhums (2008) confirme surtout son désir de devenir réalisatrice.

Débute alors la composition d’une épopée dakaroise en trois chapitres qui se déploie sur une décennie. Atlantiques (2009, Tiger Award du Festival de Rotterdam), Mille Soleils (2013, Grand Prix du FID Marseille) et Atlantique forment un manifeste qui signe l’affirmation d’un choix politique : un cinéma engagé au Sénégal dont la jeunesse populaire en sera le cœur battant. Du phénomène d’immigration clandestine qui dévaste la jeunesse populaire sénégalaise jusqu’à la destitution du régime Wade en 2012, de l’effacement du cinéma sénégalais et plus largement africain dont l’âge d’or fut incarné par l’œuvre subversive et politique de son oncle Djibril Diop Mambéty, les films se font l’archive d’une époque et de ses enjeux contemporains. Pour la réalisatrice, le cinéma est une arme de reconquête qui vient restituer des images manquantes, interroger les représentations nées du colonialisme et inventer des héros.ines qui ont déserté les imaginaires africains.

En parallèle, la cinéaste réalise plusieurs court-métrages dont Big in Vietnam (2011, Tiger Award du Festival de Rotterdam) et Snow Canon (2012, sélectionné à la Mostra de Venise), qui ressassent ses motifs et thèmes de prédilections : la solitude de corps exilés, les villes et les paysages empreints de mythologie et de mystères, la nuit d’où émergent danses et fantômes. Des motifs que l’on retrouve dans Tokyo Trip (2023) réalisé pour Chanel et In My Room (2020) commandé par Miu-Miu. Elle poursuit sa pratique de vidéaste avec Liberian Boy (2015) et Naked Blue (2022) co-réalisé avec Manon Lutanie. Entre 2020 et 2021, elle tourne aussi deux clips vidéo à Paris, pour Bonnie Banane et Wasis Diop, ainsi qu’un film commercial avec Solange Knowles.

En créant la maison de production Fanta Sy basée à Dakar, elle poursuit son engagement artistique sur le continent africain. 

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Torbjørn Rødland

Torbjørn Rødland a été en résidence à LUMA Arles en avril 2024.

Torbjørn Rødland est né à Stavanger en Norvèg, en 1970. Il vit et travaille à Los Angeles. La curiosité, la critique, l’artifice et la vénération pour le monde naturel apparaissent dans tout le travail de Torbjørn Rødland et souvent dans la même image, forgeant des liens entre la photographie d’art du xxe siècle et les approches du xxiesiècle en matière de création d’images. Son dernier projet de livre s’intitule The Pregnant Virgin (La Vierge enceinte).

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Federico Campagna

Federico Campagna a été en résidence à LUMA Arles d'avril à juin 2024.

Federico Campagna est un philosophe italien qui vit et travaille à Londres. Son travail aborde les aspects métaphysiques de l'imagination ainsi que la possibilité de modifier le "système de réalité" actuel. Ses derniers ouvrages, Otherworlds: Mediterranean Lessons On Escaping History (Bloomsbury, 2025), Prophetic Culture (Bloomsbury, 2021) et Technic and Magic (Bloomsbury, 2018), explorent la manière dont les « mondes » peuvent naître, être détruits et créés à nouveau. Dans The Last Night (2013), il considère le travail contemporain comme une forme de religion. Ses livres ont été traduits en allemand, en italien, en norvégien (à paraître), en espagnol et en turc.

Federico Campagna travaille comme chargé de cours en philosophie et construction du monde à l'Architectural Association (Londres) et à l'ECAL (Lausanne). Il est cofondateur de la maison d’édition italienne de philosophie Timeo, directeur des droits de la maison d’édition anglo-américaine Verso Books et conseiller éditorial pour la philosophie, la théologie et la mythologie pour l'éditeur italien Einaudi. Il est titulaire d’un doctorat du Royal College of Art, d’un Master of Arts de l’université Goldsmiths de Londres, ainsi que d'une maîtrise et d’une licence ès sciences de l’université Bocconi de Milan. 

Il collabore fréquemment en tant que conférencier, podcasteur et écrivain avec certains des principaux musées internationaux, galeries d’art contemporain et biennales. Son travail a été présenté dans de nombreuses institutions internationales, telles que la Fondation Beyeler, Bâle ; Biennale de Venise ; Documenta, Kassel, Allemagne ; Tate Modern, Londres ; Transmediale, Berlin ; Serpentine Gallery, Londres ; Jameel Art Centre, Dubaï ; MACBA - Musée d'art contemporain de Barcelone ; et MAXXI - Musée national d'art du 21e siècle, Rome.

 

 

 

Erika-Verzutti

Erika Verzutti

Erika Verzutti a été en résidence à LUMA Arles de mai à juillet 2024.

Erika Verzutti est née en 1971 à São Paulo, où elle vit et travaille. Dans son travail, Erika Verzutti combine des éléments et des styles différents. Il lui arrive de travailler avec des matériaux classiques comme le bronze et l’argile, ou des matériaux plus artisanaux comme le papier mâché et le carton. Nombre de ses sculptures révèlent une attention particulière à la nature par l’utilisation de fruits et de légumes moulés, tandis que d’autres œuvres s’inspirent de sujets d’actualité tels que les titres de journaux et les phénomènes Internet. Erika Verzutti a été accueillie en résidence à LUMA Arles du 1er mai au 15 juillet 2024. Son travail a fait l’objet d’expositions personnelles au Hessel Museum - Bard College, Annandale-on-Hudson, New York (2023) ; Museo Experimental El Eco, Mexico (2023) ; MASP, São Paulo (2021) ; Nottingham Contemporary, Royaume-Uni (2021) ; Centre Pompidou, Paris (2019) ; Aspen Art Museum, Colorado (2019) ; Pivô, São Paulo (2016) ; SculptureCenter, New York (2015) ; Tang Museum, Saratoga Springs (2014) ; et Centro Cultural São Paulo (2012). Parmi ses expositions institutionnelles, citons la Biennale de Genève - Sculpture Garden, Genève (2022) ; la 57e Biennale de Venise (2017) ; la 32e Biennale de São Paulo (2016) ; le 34e Panorama de l’art brésilien, Museu de Arte Moderna de São Paulo (2015) ; 2013 Carnegie International, Pittsburgh (2013) ; la 9e Bienal do Mercosul, Porto Alegre (2013) ; et la 11e Biennale de Lyon (2011). Ses œuvres figurent, entre autres, dans les collections de la Tate Modern de Londres, du Carnegie Museum of Art de Pittsburgh, du Guggenheim de New York, du Museu de Arte Moderna de São Paulo, et de la pinacothèque de l’État de São Paulo.

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Alice dos Reis

Alice dos Reis a été en résidence à LUMA Arles avec le soutien de la Fondation Gulbenkian-Délégation en France de septembre à décembre 2024.

Alice dos Reis (née en 1995 à Lisbonne) est une artiste plasticienne et cinéaste qui travaille à la fois le film, le textile, l’installation et l’édition. Elle réalise ses films le plus souvent seule ou accompagnée d’une petite équipe et recourt à divers supports, du 16 mm aux téléphones portables. Ses œuvres, oscillant entre autobiographie et fiction, se distinguent par une atmosphère particulière, obsédante et parfois teintée d’humour, qui trouble les chronologies et les perceptions historiques et générationnelles. Elle considère son travail méditatif de tapisserie et de broderie comme un prolongement de ces récits filmés, où les «  accommodages » répétés en laine et coton confèrent aux œuvres une permanence contrastant avec le médium filmique. Ses créations récentes associent des images d’animaux, une iconographie religieuse et cultuelle, des artefacts genrés liés à la classe sociale et à la santé, ainsi que des visions technologiques.

Alice dos Reis a participé à des expositions individuelles et collectives au Museu de Arte Contemporânea de Serralves (Porto), à Canal Projects (New York), au Palais de Tokyo (Paris), au EYE Film Museum (Amsterdam) et à la Kunsthalle Lissabon (Lisbonne), entre autres. Ses films ont été présentés dans de nombreux festivals internationaux tels que le Sheffield DocFest, le London IFF et le Curtas Vila do Conde IFF. Récemment, elle a été lauréate de la Foundation Botin Visual Arts Grants (2022-2023), et précédemment, de la Mondriaan Fonds Stipend for Young Artists (2020-2021). Parallèlement à son travail, Alice poursuit actuellement un doctorat à la School of Creative Media, City University of Hong Kong. Elle co-dirige également Pântano Books, une maison d’édition indépendante spécialisée dans la poésie.

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Dozie Kanu

Dozie Kanu a été en résidence à LUMA Arles en hiver 2024.

Dozie Kanu (né en 1993, Houston, États-Unis) est un artiste américain qui vit et travaille Santarém, Portugal. Diplômé de la School of Visual Arts, New York, en 2016, il a suivi le Maumas Independent Study Program à Lisbonne en 2022.

Sa pratique artistique explore les tensions entre la forme et la fonction, l'art et le design. Dozie Kanu réutilise des objets et des matériaux trouvés pour créer son propre lexique visuel, en s'inspirant de ses expériences personnelles, de la culture pop et des motifs de la diaspora africaine. Ses sculptures et installations font référence à des formes utilitaires et à des questions domestiques, tout en résistant aux catégories simples. Ses œuvres existent simultanément en tant qu'objets communicatifs ou performatifs.

L’artiste a présenté son travail lors d’expositions à Nina Johnson Gallery, Miami (2024) ; Gianni Manhattan, Vienne (2024) ; Fondation Beyeler, Bâle (2024) ; Drei, Cologne (2024) ; Galerie Barbara Weiss, Berlin (2023) ; Kölnischer Kunstverein, Cologne (2023) ; Quinn Harrelson Gallery, Los Angeles (2023) ; C-Mine, Genk (2023) ; Oregon Center for Contemporary Art, Portland (2023) ; Galerie Francesca Pia, Zurich (2022) ; SFMOMA, San Francisco (2022) ; Project Native Informant, Londres (2022) ; Neuer Essener Kunstverein, Essen (2022) ; Galeria Madragoa, Lisbonne (2021) ; Performance Space New York (2021) ; The Studio Museum in Harlem, New York (2019). Il participe à une résidence artistique à LUMA Arles, entre octobre 2024 et fin février 2025. 

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Chris Kraus

Chris Kraus a été en résidence à LUMA Arles de janvier à mars 2025.

Chris Kraus est auteure et critique. Parmi ses romans figurent Aliens & Anorexia, I Love Dick, Torpor et Summer of Hate. Elle a publié trois ouvrages de critique culturelle : Video Green : Los Angeles Art and the Triumph of Nothingness ; Where Art Belongs ; et Social Practices. I Love Dick a été adapté pour la télévision et, en 2017, sa biographie littéraire de Kathy Acker, After Kathy Acker, a été publiée chez Semiotext(e) et Penguin Press.

Ancienne boursière Guggenheim, Kraus a occupé la chaire d’écriture Mary Routt au Scripps College en 2019 et a été auteure en résidence au ArtCenter College entre 2020 et 2024. Elle a écrit pour divers magazines et codirige la maison d’édition indépendante Semiotext(e) depuis 1990. Dwight Garner, critique au New York Times, l’a qualifiée d’« auteure puissamment originale », et le magazine Index l’a décrite comme « l’une des voix les plus subversives de la fiction américaine ». Son œuvre a été saluée pour son intelligence sans appel, sa vulnérabilité et sa fulgurance, et a été traduite en dix-sept langues. Elle vit à Los Angeles.

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Peng Zuqiang

Peng Zuqiang a été en résidence à LUMA Arles de mars à juin 2025.

Peng Zuqiang explore le film, la vidéo et l’installation, en s’intéressant aux résonances affectives qui traversent les récits, les corps et le langage.

Ses récentes expositions personnelles incluent la Fondazione Sandretto (2023), Kevin Space (2023), Cell Project Space (2022) et E-Flux Screening Room (2022). Son travail a été présenté dans des expositions collectives et des projections à Videobrasil, UCCA Pékin, la Schirn Kunsthalle Francfort, le Times Museum, l'Eye Film Museum, IDFA, 25FPS et l'Alchemy Film and Moving Image Festival.

Il a reçu le prix Present Future à Artissima (2022) ainsi que le Dialog Award à l’EMAF (2023, 2024). Il a participé à des résidences et programmes de recherche à la Rijksakademie, Art Explora, Skowhegan et au Core Program.

Il vit et travaille entre Amsterdam et Paris.

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Julianknxx

Julianknxx a été en résidence à LUMA Arles de mi-avril à juin 2025.

Julianknxx est poète, artiste et réalisateur. La nature polyphonique de son œuvre témoigne d’une pratique étendue, ancrée dans la poésie mais qui s’étend à la performance, au film, à la musique et à la sculpture. Né à Freetown, en Sierra Leone, Julianknxx puise dans son expérience personnelle pour élargir les perspectives sur l’histoire et la culture de l’Afrique et de ses diasporas. Inspiré par les traditions orales et adoptant une approche esthétique singulière, ses films nous invitent à réfléchir à la manière dont nous construisons les récits locaux et mondiaux, tout en interrogeant ce que cela signifie d’exister dans des espaces liminaires.

Son travail a été présenté dans des galeries et musées à travers le monde. Sa première exposition personnelle institutionnelle, très remarquée, Chorus In Rememory of Flight, au Barbican, à Londres (2023), a été qualifiée de « transcendante et poignante » par le Evening Standard.

Parmi ses expositions collectives récentes figurent A World in Common à la Tate Modern, Londres (2023) ; Rites of Passage chez Gagosian, Londres (2023) ; et To Be Held à la Carl Freedman Gallery, Margate (2023). Ses participations précédentes incluent Whitechapel Gallery Open, Londres (2022) ; Nocturnal Creatures à la Whitechapel Gallery (2021) ; Lux à 180 The Strand, Londres (2021) ; The View from There chez Sadie Coles HQ, Londres (2021), entre autres.

Ses performances incluent Chorus in Flight à St James’s Church (2023), BURO Stedelijk (2024), et au Philadelphia Museum of Art (2024) ; Art Basel Conversations: Sonic Performance, Bâle (2023) ; ainsi que la Fondation Calouste Gulbenkian, Lisbonne (2023).

Isadora Neves Marques

Isadora Neves Marques

Isadora Neves Marques a été en résidence à LUMA Arles de septembre à décembre 2025.

Isadora Neves Marques (Portugal, 1984) est une réalisatrice, artiste visuelle et écrivaine qui travaille à la fois sur la poésie et les œuvres non romanesques. Elle a représenté le Portugal à la Biennale de Venise en 2022 et a reçu le prix spécial Pinchuk Future Generation Art en 2022 et le prix Artissima’s Present Future Art en 2018. Son travail a été exposé à High Line, au Pérez Art Museum de Miami, au Castello di Rivoli, au CA2M, à Gasworks, à la Wellcome Collection, au Palais de Tokyo et à la Kyoto City University of Arts Gallery, entre autres. Ses films ont été présentés en avant-première à la Semaine de la critique – Festival de Cannes, au Festival international du film de Toronto et au Festival international du film de Rotterdam, où elle a notamment reçu le prix Ammodo Tiger Short Award en 2022. Elle est cofondatrice de la société de production cinématographique Foi Bonita a Festa et de la maison d'édition poétique Pântano Books. Elle a contribué régulièrement à la revue e-flux, ainsi qu'à des publications de MIT Press, Sternberg Press, Archive Books, pour ne citer qu’eux.

Verena Paravel

Verena Paravel

Verena Paravel a été en résidence à LUMA Arles de septembre à décembre 2025.

Verena Paravel est une anthropologue et cinéaste. Elle a rejoint le Sensory ethnography Lab de l’université de Harvard en 2007. Ses intérêts académiques et artistiques englobent l'écologie urbaine, l'environnement, l’acoustémologie, ainsi que la poétique et la politique du corps et de l'esprit. Ses œuvres comprennent 7 Queens (2008), Foreign Parts (2010), Canst Thou Draw Out Leviathan with a Hook? (2012—2016) dont Leviathan est issue (2012), Ah humanity! (2015), somniloquies (2017), Commensal (2017), Caniba (2018), et De Humani Corporis Fabrica (2022).

7 Queens est une vidéo anti-ethnographique qui documente des rencontres éphémères survenues lors d'une promenade sous la ligne de métro numéro 7 à New York. Foreign Parts (avec J.P. Sniadecki) est un film qui dépeint le quartier de Willets Point, une zone industrielle cachée vouée à la démolition dans l'ombre du nouveau stade des New York Mets, où épaves, déchets et recyclage forment un commerce florissant. Canst Thou Draw Out Leviathan with a Hook? (avec Lucien Castaing-Taylor) est un projet en quatre parties sur l'humanité et la mer, et notre pillage des ressources marines. Ah humanity! (avec Ernst Karel et Castaing-Taylor) est une installation qui prend comme point de départ le tsunami du 11 mars 2011 et la catastrophe nucléaire de Fukushima, et réfléchit sur la fragilité et la folie de l'humanité à l'ère de ce qu'on appelle l'Anthropocène. somniloquies (avec Castaing-Taylor) est un film sur les rêves et le désir basé sur les archives sonores de Dion McGregor, considéré comme le somniloque le plus bavard au monde. Commensal est une installation, et Caniba un film, qui tous deux explorent l'ontologie du cannibalisme et de la rivalité fraternelle à travers le prisme d'Issei et Jun Sagawa. De Humani Corporis Fabrica (avec Castaing-Taylor) est un film sur l'anatomie, l'imagerie médicale et la politique de la santé dans les hôpitaux publics parisiens.

Elle travaille actuellement sur deux films, l'un sur la psychanalyse et l'autre sur l’acoustique des écosystèmes. Son travail fait partie de la collection permanente du Museum of Modern Art de New York, et a été exposé à la Biennale de Venise (2017), à documenta 14, à la Tate, au Barbican, au Centre Pompidou, au Whitney Museum of American Art, au PS1, au MoMA, au MASS MoCA, au MAMM Medellín, à l'Institute of Contemporary Arts de Londres, à la Kunsthalle de Berlin, à la Biennale de Shanghai (2014), et à la Triennale d'Aichi (2017). Ses films et vidéos ont été projetés aux festivals de Berlin, Cannes, Locarno, New York, Toronto, Vienne, Venise et autres festivals de cinéma.

Danaï Anesidadou

Danai Anesiadou

Danai Anesiadou a été en résidence à LUMA Arles de septembre à décembre 2025.

Danai Anesiadou est une artiste qui se partage entre les domaines connexes de la performance, de l'installation, du collage et de la sculpture. Elle crée des mises en scène théâtrales où la culture populaire se mêle au cinéma, à la politique et à la métaphysique. Son travail et ses performances ont été présentés, entre autres, à la Documenta 14 (Kassel/Athènes), au WIELS (Bruxelles), à l'EMST (Athènes), à la Kunsthalle de Bâle, à la 5e Biennale de Berlin, au Musée d'Art Moderne de la Ville de Paris (Paris), au M HKA (Anvers), au Witte de With (Rotterdam), au DRAF (Londres), au RCA (Londres), à l'Établissement d'en Face Projects (Bruxelles), au Kiosk (Gand), à la Biennale LUX/ICA (Londres), à la Kunsthalle de Vienne (Vienne), au Swiss Institute (New York), au Palais de Tokyo (Paris) et à la Casa Luis Barragan (Mexico DF).

Danai Anesiadou vit et travaille à Bruxelles. Elle a étudié au KASK de Gand et à DasArts à Amsterdam.

Résidence « Studio of the South »

La résidence « Studio of the South » est une commande de LUMA Foundation à l’artiste américaine Laura Owens, pilotée par l’artiste depuis 2020 et ce jusqu’en juillet 2023.

Dans le cadre de cette résidence singulière, une vingtaine d’artistes internationaux sont invités par l’artiste à laisser leurs empreintes dans un cadre domestique, et tentent ainsi de recréer l’esprit de communauté artistique si cher à l’artiste Vincent Van Gogh lors de son séjour à Arles.

A travers ce processus, les artistes se succédant à un rythme soutenu, transforment peu à peu cette maison en une œuvre totale et immersive à part entière.

Julie Beaufils

Julie Beaufils

Julie Beaufils a été en résidence à LUMA Arles de septembre à novembre 2020.

Née en France en 1987. Elle vit et travaille à Paris. Julie Beaufils est peintre. Elle a étudié à l’École nationale supérieure des beaux-arts de Paris et à la Roski School of Art and Design de l’université de Caroline du Sud, à Los Angeles. Elle a exposé, entre autres, dans diverses galeries et institutions telles que Balice Hertling, àParis ; Mendes Wood DM, à São Paolo ; la Kunsthalle, à Mulhouse ; Overduin & Co., à Los Angeles et la Fondation d’entreprise Pernot Ricard, à Paris.

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Miriam Laura Leonardi

Miriam Laura Leonardi a été en résidence à LUMA Arles de mars à mai 2021.

Née en 1985 à Lörrach, Allemagne. Vit et travaille à Zurich, Suisse. Miriam Laura Leonardi est artiste. Elle navigue autours de différents médiums, interrogeant le langage et les signes comme éléments porteurs de sens qui évoluent avec le temps. Elle examine les normes sociales sur un ton ironique, tout en utilisant l’esthétique minimale de l’art conceptuel. L’artiste utilise le potentiel de l’appropriationnisme (courant artistique où les auteurs s’approprient les œuvres d’autres artistes en les retravaillant) pour révéler les structures que forment les biens marchands de la culture capitaliste. Elle produit d’énigmatiques objets du désir, comme de faux ready- made, des installations éphémères, des sculptures mais aussi des vidéos et des performances-vidéos.  Lors de sa résidence à Arles, elle souhaite travailler pour la première fois la céramique afin de créer des vases inspirés de la tradition sicilienne des arts décoratifs à des fins domestiques.

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Charlotte Houette

Charlotte Houette a été en résidence à LUMA Arles de printemps à été 2021.

Née en France en 1983. Vit et travaille à Paris. Charlotte Houette a étudié aux Beaux-arts de Paris et à l'Art Center College of design de Pasadena.
Son travail de peinture intègre différentes techniques, comme l'impression, le transfert, la construction et la sculpture. Des éléments fabriqués, comme des fenêtres ou des portes évoquant des façades découpées de maquettes de maisons simplistes, sont intégrés de façon récurrente aux tableaux, plaçant ces derniers à mi-chemin entre la peinture abstraite et le ready-made.
En 2015, elle a cofondé The Cheapest University, une école expérimentale qui organise des workshops, des résidences et des conférences. Au sein de ce projet, elle a crée la revue EEAPES, qui se fonde sur des lectures collectives et des traductions d’écrits de science-fiction féministe.

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Parker Ito

Parker Ito a été en résidence à LUMA Arles de mi-octobre à mi-novembre 2021.

Né en 1986 à Orange County, Etats-Unis. Il vit et travaille à Los Angeles. La pratique de Parker Ito tend vers la création d’une œuvre vaste et interconnectée, prenant la forme d’installations, de peintures, sculptures, vidéos, dessins, sites web, livres et gravures. Parker Ito a exposé dans des musées et centres d’art du monde entier tel la Kunsthal Charlottenborg, Copenhagen; Museum of Contemporary Art, Denver; Times Museum, Guangzhou; Institute of Contemporary Arts, London; Sifang Art Museum, Nanjing; Musée d’Art Moderne de la Ville de Paris, Paris; Fall River Museum of Contemporary Art, Fall River; and Trondheim Kunstmuseum, Trondheim. Son travail a été présenté lors d’expositions personnelles et de groups à Beijing Art Now Gallery, Beijing; White Cube, London; Sadie Coles HQ, durant CONDO London; Château Shatto, Los Angeles; Galeria Mascota, Mexico City; Andrea Rosen Gallery, New York; Team Gallery, New York et Los Angeles; Air de Paris, Paris; Three Star Books, Paris; et enfin Berggruen Gallery, San Francisco.

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Julien Ceccaldi

Julien Ceccaldi a été en résidence à LUMA Arles de fin novembre à mi-décembre 2021.

Né en 1987 à Montréal, Canada. Vit et travaille à New York. Autour de la peinture, du dessin et de la bande dessinée, Julien Ceccaldi décrit des personnages en quête d’amour et de succès. Inspirés par les archétypes de la tradition du manga Shoujo, ses histoires se polarisent sur des relations personnelles et sentimentales impliquant des êtres androgynes.
Son corpus d’œuvres dépeint le croisement entre mignon et morbide, et transmet un intérêt pour les contraintes liées à la mode et à l’image publique.
Il a participé à plusieurs expositions dans des institutions et des galeries dont le Kölnischer Kunstverein, Cologne; House of Gaga, Mexico City; Jenny’s, New York; and Lomex, New York.
Julien Ceccaldi a fait l’objet d’articles dans différentes publications incluant  Artforum, Frieze et Mould Map, et il est l’auteur de plusieurs bandes dessinées publiées à compte d’auteur.

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Alvaro Barrington

Alvaro (cadet) Barrington a été en résidence à LUMA Arles en avril 2022.

Intersectionnalité/

Tu es la personne la moins sûre d'elle que je connaisse et c'est dégoûtant /

Nous devons être doux avec le coeur des autres. 

J'aime l'Amérique et l'Amérique m'aime. 

Pour la CULTURE/

Si vous étiez eux, vous seriez eux/

ÉCOUTEZ/

"Vous devez leur donner quelque chose de spécial, vous devez leur donner vous, ce que vous faites, ce que vous représentez"

Nouvelles femmes, vieilles méthodes, il faut garder l'équilibre/

J'ai l'air plus cool que je ne le suis/

Je ne veux pas que mon travail soit une putain d'association de zones libres/

Construisez les marges/

Yo No se

Je ne jure que par l'instant présent 

Le centrage identifie 

Considère la source 

Le piège de la soif émotionnelle

Long voyage, pas beaucoup de temps

Expérience sans frontières

On ne peut pas être bouleversé sans être prêt à éduquer

Nous devons en savoir plus sur l'autre avant de parler de l'autre.

Privilège économique déguisé en moralité

En tant qu'hommes noirs, nous essayons toujours de nous sentir en sécurité.

J'ai grandi en étant le nègre bizarre du quartier.

L'angoisse du piège de l'endettement 

Le droit de l'homme d'avoir le fruit de son travail stocké quelque part.

La classe des baby-boomers

Le dysfonctionnement de la conduite en D 

Les implications émotionnelles 

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Naoki Sutter-Shudo

Naoki Sutter-Shudo a été en résidence à LUMA Arles en mai 2022.

Naoki Sutter-Shudo est né à Paris en 1990 et grandit à Tokyo. Après un passage aux Beaux-Arts de Paris et à la Art Center College of Design de Pasadena (Californie), il est membre de Shanaynay, un feu project space à Ménilmontant (Paris). Depuis 2015 il vit et travaille à Los Angeles, où il a fondé la galerie Bel Ami en 2016. En tant qu’artiste, il produit principalement de la sculpture et de la photographie, et s’intéresse aux rapports entre le langage et la matière physique. Il écrit aussi des nouvelles. Sa production artistique est représentée par Derosia (New York) et Crèvecœur (Paris).

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Asha Schechter

Asha Schechter a été en résidence à LUMA Arles de mi-juin à mi-juillet 2022.

Asha Schechter est un artiste basé entre Los Angeles et New York. Ses prochaines expositions comprennent "Objects of Desire" au LACMA à l'automne 2022. Parmi ses autres activités, il dirige The Vanity, une galerie à Los Angeles, et Apogee Graphics, une société d'édition et de design cofondée avec Laura Owens.

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Gary Indiana

Gary Indiana a été en résidence à LUMA Arles de mi-juillet à mi-août 2022.

Gary Indiana est un écrivain et un artiste. Il est l'auteur de sept romans et de huit livres de non-fiction. Ses vidéos et ses photographies ont été exposées dans de nombreuses expositions individuelles et collectives, dont la 2014 Whitney Biennial.

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Sadie Laska

Sadie Laska a été en résidence à LUMA Arles en août 2022.

Sadie Laska (née en 1974, Virginie) est une artiste et une musicienne vivant dans le Queens, à New York. Elle a reçu son MFA de la Milton Avery Graduate School of the Arts en 2014. Le travail de Sadie Laska a été présenté à l'échelle internationale, avec des expositions personnelles à Canada, New York ; 56 Henry, New York ; Soccer Club, Chicago IL ; Office Baroque, Bruxelles ; KS Art, New York ; et Galerie Bernard Ceysson, à Paris, Saint Etienne, France ; Luxembourg et Genève. En 2017, elle a fait l'objet d'une exposition collective à la Newport Street Gallery, à Londres, organisée par Damien Hirst. La même année, Sadie Laska a été commissaire d'Animal Farm, une exposition collective à la Brant Foundation and Study Center à Greenwich, CT. Son travail a également fait l'objet d'expositions collectives à la Night Gallery de Los Angeles, à la Gavin Brown's Enterprise, à White Columns, à la Marlborough Gallery et à la James Fuentes Gallery, toutes à New York, entre autres. Le groupe de Sadie Laska, I.U.D., s'est produit dans des lieux tels que le Whitney Museum of American Art, le PS1 Contemporary Art Center, The Kitchen, ISSUE Project Room, Astrup Fearnley et la Kunsthalle Zürich.

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Eric Palgon

Eric Palgon a été en résidence à LUMA Arles en août 2022.

Eric Palgon est un peintre, un sculpteur et un poète qui vit dans le Queens, à New York. Son travail est inspiré par la nature, l'artisanat, le toucher et le divertissement. Il dirige la galerie en ligne Ahava Shemesh, que l'on trouve sur Instagram, et la maison d'édition de livres d'artistes et de poésie Turtle Jazz.

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Alicia Vaïsse

Alicia Vaïsse a été en résidence à LUMA Arles en septembre 2022.

Alicia Vaïsse, née en 1983, est diplômée de l’École Nationale Supérieure des Beaux-Arts de Paris.
Également titulaire d’une maitrise de Droit et d’Histoire de l’Art. Aujourd’hui enseignante d’arts et d’équitation, Alicia vit au sein d’un élevage de chevaux tout en menant une pratique artistique constituée de travaux de natures variées : dessin, peinture, photographie. Elle puise ses inspirations tant dans l’univers animalier qui l’entoure que dans son imaginaire, nourri de littérature documentaire et fictionnelle, s’intéressant particulièrement à des œuvres interrogeant les liens unissant les différentes espèces.

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Adee Roberson

Adee Roberson a été en résidence à LUMA Arles en octobre 2022.

Adee Roberson est un·e artiste interdisciplinaire dont le travail est une méditation sur le symbolisme et la texture. Synthétisant performance et installation, son travail mêle vibrations et visions en technicolor à travers des peintures, des vidéos et des compositions mélodiques. Ses œuvres offrent une chronologie réfractée du mouvement de la diaspora noire, tissant des archives sonores et familiales avec le paysage, le rythme et l'esprit. 

Iel a exposé et joué dans de nombreux lieux, notamment au Portland Institute of Contemporary Art, au Yerba Buena Center for the Arts, à la Antenna Gallery, au Project Row Houses, au Palm Springs Art Museum, au Human Resources, au UTA Artist Space, au NADA Miami, au Contemporary Art Center New Orleans, au MOCA Los Angeles et au Art Gallery of Ontario. Adee a été artiste en résidence au Echo Park Film Center, à Treehouse Lagos et à ACRE. Iel est lauréat·e de la New York Foundation for the Arts Cutting Edge Grant et du 2021 Los Angeles Artadia Award. Iel est basé·e à Los Angeles, en Californie.

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Clément Rodzielski

Clément Rodzielski a été en résidence à LUMA Arles en novembre 2022.

Le travail de Clément Rodzielski s’inscrit dans une pratique des usages et mésusages des images. Empruntant le plus souvent les moyens de la peinture, et par elle : prolongeant une existence interrompue des objets, ou à l’inverse empêchant le flux, redistribuant les surfaces.

Il est représenté par la galerie Chantal Crousel à Paris.

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Alake Shilling

Alake Shilling a été en résidence à LUMA Arles en décembre 2022.

Alake Shilling (née en 1993) est une peintre et sculptrice installée à Los Angeles qui crée des personnages issus de son obsession d’enfance pour Lisa Frank et de l’esthétique des travaux manuels extrascolaires, faisant du spectateur ce qu’elle appelle un « accessoire de confort ». Cependant, contrairement aux œuvres de Lisa Frank, les personnages peints de Shilling s’éloignent de la perfection. Imaginez, si vous voulez, Lisa Frank illustrée par une empathie sincère. Shilling note : « Un dialogue a lieu entre moi et chaque personnage. Les personnages représentent davantage une émotion. Ils incarnent un sentiment. » Shilling puise également dans le monde naturel, collectionnant des images de fleurs, dont beaucoup se traduisent dans son vocabulaire visuel. Elle écoute du disco, sa musique de prédilection, s’inspirant de pochettes d’albums disco tout en strass, qui apparaissent dans d’étonnants instants de texture au sein de ses toiles. Les personnages de Shilling réalisent finalement son rêve d’enfance de créer un lexique visuel bien à elle d’animaux mignons et de créatures en peluche nées pour apaiser et consoler, mais qui, dans son monde, symbolisent la condition humaine dans toutes ses imperfections.

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Mona Varichon

Mona Varichon a été en résidence à LUMA Arles en décembre 2022.

Mona Varichon est artiste et traductrice. Elle a étudié la sociologie à l’Université Paris Descartes, puis les Beaux Arts au San Francisco Art Institute et à l’Art Center College of Design de Pasadena (Californie). Ses vidéos, performances et séries photographiques dessinent une chronique du temps présent qui cherche à y rendre hommage, tout en révélant les réalités sociologiques qui l’animent et qui l’aggravent. Récemment, son travail a été présenté au Centre Georges Pompidou, Paris ; au Capc musée d’art contemporain, Bordeaux ; à la National Gallery, Prague ; et dans les galeries Cocotte à Treignac (France), Alienze à Vienne (Autriche) et The Vanity à Los Angeles (États-Unis).

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Alexander Zevin

Alexander Zevin a été en résidence à LUMA Arles en 2023.

Alexander Zevin enseigne à la City University of New York et est rédacteur à la New Left Review. Liberalism at Large : The World According to the Economist, son premier livre, a été publié chez Verso en 2019. Ses écrits ont également été publiés dans la London Review of Books et Le Monde Diplomatique. Son projet actuel examine la relation entre les libéraux et les socialistes d'un point de vue historique, et il s'intéresse particulièrement aux concepts de planification, de finance, d'impérialisme, et à la façon dont ils ont évolué au fil du temps.

Blake-Rayne

Blake Rayne

Blake Rayne a été en résidence à LUMA Arles en 2023.

Blake Rayne est né à Lewes, Delaware (États-Unis) en 1969. Il vit et travaille à New-York.

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Candida Alvarez

Candida Alvarez a été en résidence à LUMA Arles en 2023.

Candida Alvarez est une artiste et professeur américaine, connue pour ses peintures et ses dessins.

Ses œuvres ont été collectionnées par l'Art Institute of Chicago, le Museum of Contemporary Art Chicago, le Whitney Museum, le San Jose Museum of Art, le Pérez Art Museum, Miami, le Virginia Museum of Fine Arts, l'Addison Gallery of American Art, le Baltimore Museum of Art, entre autres. Mme Alvarez a récemment reçu le prix Arts and Letters Award in Art décerné par l'Académie américaine des arts et des lettres et a bénéficié en 2022 d'une bourse pour artistes latino-américains. Elle a reçu en 2021 le prix Helen Frankenthaler pour la peinture de la Fondation pour l'art contemporain, à New York, et une bourse pour peintres et sculpteurs de la Fondation Joan Mitchell en 2019. Candida Alvarez est une ancienne élève de la Yale School of Art et de la Skowhegan School of Painting and Sculpture. Elle est actuellement professeur de peinture F.H. Sellers à la School of the Art Institute of Chicago, où elle enseigne depuis 1998.  

Candida Alvarez est représentée par la galerie Monique Meloche, à Chicago.

Résidence LUMA Arles x ARTWORKS

Au printemps 2023, LUMA Arles a annoncé une collaboration d’un an avec ARTWORKS et accueilli des boursiers SNF ARTWORKS de différentes promotions pour une mission de trois mois.

ARTWORKS a été créé en 2017, avec le soutien de son donateur-fondateur, la fondation Stavros Niarchos (SNF), dans le but de mettre en place un environnement fertile et fructueux pour les artistes grecs grâce à des opportunités de financement et d’engagement publics.

Dans le cadre du programme de bourses d’artistes de la SNF – son activité principale –, ARTWORKS décerne des récompenses monétaires à des artistes et à des commissaires d’exposition en reconnaissance de leurs compétences et de leurs qualifications. Outre le soutien financier, l’organisation offre l'accès à des événements de partage de compétences et à des outils de développement professionnel, ainsi qu’à des chances de mise en réseau avec des professionnel(le)s de l’art grâce à des partenariats avec des institutions culturelles et des programmes internationaux de résidence d’artistes.

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Vasilis Papageorgiou

Vasilis Papageorgiou a été en résidence à LUMA Arles en 2023.

Vasilis Papageorgiou (né en 1991) est un plasticien qui vit et travaille à Athènes. Il a terminé ses études à l'École des beaux-arts d'Athènes (2014) et son master en beaux-arts à l'École des arts St. Luca de Bruxelles (2016). En 2018, il a participé au premier projet de soutien ARTWORKS de la Fondation Stavros Niarchos. En 2016, il a été artiste en résidence à la Rupert Residency à Vilnius, en Lituanie, et en 2015 au Camden Arts Center à Londres.
Il a présenté son travail dans sept expositions individuelles à Athènes, Milan, Bruxelles et Anvers et a participé à diverses expositions collectives en Grèce et à l'étranger : "The Same River Twice : Contemporary Art in Athens", organisée par Margot Norton et Natalie Bell au New Museum et à la DESTE Foundation au musée Benaki d'Athènes (2019), "Flashing and Flashing" organisée par Il Colorificio au musée MAXXI de Rome (2019), "Constellations in the Dirt", organisée par NEON et l'Ephorat des antiquités des Cyclades à la collection archéologique de Kouphonisi (2018), "Abracadabra", organisée par Lucrezia Calabro Visconti, à la Biennale internationale de la jeune création de Moscou (2018).
Il est le cofondateur d'"Enterprise Projects", un espace d'art indépendant qui a ouvert ses portes en septembre 2015 à Athènes.

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Eva Papamargariti

Eva Papamargariti a été en résidence à LUMA Arles de septembre à décembre 2023.

Eva Papamargariti est une artiste officiant à Athènes et à Londres. Elle utilise une variété de médiums tels que l’image en mouvement, le matériel imprimé et les installations sculpturales, qui explorent la relation entre espace numérique et réalité matérielle, ainsi que l’intra-connexion et l’intra-action dynamiques des événements entre ces deux systèmes, parmi d’autres. Son travail se déploie et s’installe dans le moment et l’espace suspendus où le grotesque, la fiction et le réalisme s’entrechoquent, et où émerge un amalgame de réalités diverses. La recherche et la pratique de Papamargariti sondent des thèmes liés aux notions d’identification et de métamorphose, à l’idée de simultanéité, à la fusion et à la dissolution de notre environnement dans le virtuel, le banal, l’étrange et l’extraordinaire. Plus précisément, en utilisant la vidéo, le texte, le son, la capture de mouvement, la réalité augmentée, l’animation par ordinateur, les scans 3D, les logiciels de création de personnages, les sculptures et les textiles, elle passe au crible les notions de devenir, la dialectique de la fluidité, la techno-romance, la transformation, les caractéristiques de la symbiose entre les agents humains et non humains, mais aussi les traces complexes et les liens de parenté que produit cet enchevêtrement. En outre, sa pratique s’articule autour des processus établis par notre présence en ligne, comme la construction et le changement de nos identités, nos avatars, notre langage/imagerie vernaculaire et la construction d’univers. Elle a exposé dans le monde entier dans des institutions, des musées et des festivals tels que le New Museum (New York), le Whitney Museum (New York), la Tate Britain (Londres), l’EMST – Musée national d’art contemporain (Athènes), le musée Benáki (Athènes), le MAAT (Lisbonne), le GAMeC (Bergame), le Museum of Moving Image (New York), le MoMA PS1 (New York), le Musée d’art contemporain de Montréal, la Biennale d’Athènes, la Biennale de Thessalonique, MUTEK, le festival Transmediale (Berlin), la Liste Art Fair (Bâle), le Kunstraum Niederösterreich (Vienne). Ses œuvres figurent dans des collections publiques et privées telles que la collection Dakis Joannou (Fondation DESTE), la fondation Onassis, la collection PCAI, la collection MOMus, et bien d’autres encore.

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Eleni Bagaki

Eleni Bagaki a été en résidence à LUMA Arles de mars à mai 2024.

Eleni Bagaki est une artiste installée à Athènes. Elle est titulaire d’une maîtrise en beaux-arts de la Central Saint Martins University of the Arts, à Londres.
Son travail a fait l’objet d’expositions personnelles : Musée national d’art contemporain d’Athènes (2023) ; Open Sails, La Canée (2022) ; Chauffeur Gallery, Sydney (2021) ; Eleni Koroneou Gallery, Athènes (2021) ; Palette Terre, Paris (2018) ; Radio Athènes, Athènes (2017 et 2015) ; Signal - Center for Contemporary Art, Malmö (2016) ; et NEW STUDIO, Londres (2015). Elle a participé, entre autres, aux expositions de groupe Sheltered Gardens, Diomedes Botanic Garden, PCAI, Athènes (2022) ; Directed by Desire, Rongwrong, Amsterdam (2022) ; 9e Festival international du film de Syros (2022) ; Prizing Eccentric Talents, P.E.T. Projects, Athènes (2021) ; seeping upwards, rupturing the surface, Art Gallery of Mississauga (2018) ; Millennial Feminisms, L’Inconnue, Montréal (2018) ; The Equilibrists, DESTE Foundation et NEW MUSEUM, Athènes (2017). Bagaki a été boursière Artworks, Fondation Niarchos (2020), et artiste en résidence à la Società delle Api, Grasse (2023) ; Hordaland Kunstsenter, Bergen (2020) ; Fogo Island Arts’ Residency, Canada (2019) ; IASPIS, Stockholm (2018) ; Pivô, São Paulo (2018) ; et à la Tadeusz Kantor Foundation (2017). En outre, elle a publié des livres tels que Poems for Him (2023) ; Butter and Cracker, copublié par Miss Dialectic & Dolce (2022) ; She left. She left once more (2021) ; No Script (2017) ; et Look for love and find a log instead, publié par la Tadeusz Kantor Foundation, 2017.