LUMA Arles sera fermé les lundis à partir du 2 novembre 2025.
Des visiteurs se promènent dans le parc paysager.
© Rémi Benali
Les espaces en accès libre
À LUMA Arles, l’art et l’architecture se découvrent aussi gratuitement.
En dehors des expositions temporaires, une grande partie du Parc des Ateliers est en accès libre : La Tour, ses terrasses panoramiques, ses toboggans, mais aussi le parc paysager et son skate-park phosphorescent.
Dans La Tour
La Tour est l’entrée emblématique du Parc des Ateliers. Accessible sans billet, elle présente des espaces et des œuvres permanentes à découvrir au fil des étages.
À l’intérieur, vous trouverez :
Rez-de-chaussée
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Deux pods vidéo : deux vidéos de Maja Hoffmann et Frank Gehry qui introduisent le projet LUMA Arles
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Le Drum Café : un café conçu comme une œuvre d'art par Rirkrit Tiravanija et Atelier LUMA
En savoir plus sur le Drum Café
Considéré comme l’un des artistes emblématiques du courant de l’esthétique relationnelle, comme l’a nommé le critique et historien de l’art Nicolas Bourriaud, Tiravanija a conçu et réalisé le Drum Café situé au rez-de-chaussée de La Tour. Le lieu est imaginé comme une œuvre d’art à habiter et fait l’expérience de nouveaux matériaux développés par Atelier LUMA. Avec ses murs en inox aux tuyauteries apparentes et ses panneaux en moelle de tournesol, ce bar-restaurant traduit la complexité de la notion d’hospitalité et manifeste une forte identité visuelle. La convivialité et le partage sont au cœur de la pratique de Tiravanija, qu'il exprime dans ce lieu conçu pour accueillir l’essence même du temps passé avec les autres. La conception a recours à des matériaux de la biorégion de Camargue et à des ressources naturelles telles que la pulpe de tournesol, la laine de mérinos d’Arles, ou des pigments et teintures issus de plantes invasives environnantes. Une tapisserie monumentale, pièce majeure de dix mètres de long, confectionnée avec les artisans de la manufacture française d’Aubusson, habite cet espace avec une force inédite. Ayant nécessité plusieurs années d’élaboration, elle a mis en jeu des techniques et des matériaux expérimentaux et rares, en collaboration avec des designers et des chercheurs des laboratoires d’Atelier LUMA.
1er étage
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Dans la forêt : une fresque murale monumentale en céramique signée Etel Adnan
En savoir plus sur la fresque
Etel Adnan a créé une œuvre d’art unique dans sa carrière, sous la forme d’une fresque murale en céramique, couvrant la totalité du mur arrière de l’auditorium de La Tour. La fresque est issue de quatre de ses dessins représentant le mouvement des arbres sous la force du vent. Réalisée avec les couleurs vibrantes qui caractérisent le travail d’Adnan : l’orange, le jaune, le vert et le bleu. Ces teintes sont typiques de ses créations tardives au feutre sur papier.
Les dessins ont été réalisés spécifiquement pour le lieu : ils évoquent la sensation du vent dans le Sud, mais aussi les peintures de Van Gogh, lui-même inspiré par la nature et ses mouvements qu’il a largement représentés dans son œuvre. Une fois les dessins effectués, ils ont été mis à l’échelle du site, puis reproduits en carreaux de céramique pour couvrir un mur d’environ quatorze mètres de long et quatre mètres de haut. -
Première terrasse panoramique : elle offre un point de vue sur le parc paysager et le skate-park
2ᵉ étage
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Isometric Slides : deux toboggans de 12 mètres de haut, créés par Carsten Höller
En savoir plus sur les toboggans
Carsten Höller a installé une nouvelle itération de Slides (« Toboggans » en français), un projet expérimental qui progresse depuis plusieurs années et se donne à voir en divers endroits. L’artiste profite de la hauteur de l’espace du niveau 2 de La Tour pour pousser plus loin la réflexion qu’il mène sur les effets potentiels du glissement. Son travail, volontiers ludique, traite de l’effet de la glisse si le phénomène s’opérait dans notre quotidien. L’artiste souhaite que les toboggans ne soient plus cantonnés aux aires de jeu mais puissent faire partie de notre expérience quotidienne et de nos architectures domestiques, muséales... Il note « qu’un toboggan est une sculpture à l’intérieur de laquelle on peut voyager ». D’un point de vue architectural et pratique, les toboggans peuvent constituer l’un des moyens de transport des personnes au sein du bâtiment, équivalent aux escalators, ascenseurs ou escaliers, du haut vers le bas. Les toboggans acheminent les personnes rapidement, en toute sécurité et avec élégance vers leur destination, ils sont peu coûteux à construire, rapides à emprunter et performants sur le plan énergétique. Ils permettent également de faire l’expérience d’un état émotionnel unique, fait de plaisir, de lâcher prise et de fantaisie. Dans les années 1950, l’écrivain français Roger Caillois l’a décrit comme « d’infliger à la conscience lucide une sorte de panique voluptueuse ».
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Take Your Time : un grand miroir circulaire imaginé par Ólafur Elíasson, au sommet de l’escalier à double révolution
En savoir plus sur le miroir
Créé spécifiquement pour cet espace, Take your Time est un grand miroir circulaire fixé de biais au plafond qui tourne lentement sur son axe, créant ainsi une sensation de tourbillon qui déstabilise notre perception de l’espace. L’œuvre est installée au-dessus de l’escalier monumental à double révolution, une disposition qui crée une sensation amusante, bien que déroutante, lorsque l’on atteint son point culminant. Jouant avec le mouvement de la personne qui la regarde, mais aussi avec la lumière, la réflexion et les éléments de l’architecture et de l’espace environnant, cette œuvre offre une expérience enchanteresse.
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Laguna Gloria : un paysage sonore immersif conçu par Liam Gillick
En savoir plus sur l'œuvre
Liam Gillick a conçu l’espace partagé du niveau 2 de La Tour. À l’aide d’images extraites de son film de 2013, Margin Time 2 (The Heavenly Lagoon), il a imaginé un paysage audiovisuel et un espace qui peut accueillir de multiples activités. Les images du film représentent des clichés à la texture granuleuse de plantes et d’environnements naturels. Elles créent une pièce évoquant un jardin artificiel. L’installation devient un pavillon inversé, situé au centre de La Tour, que le public utilise comme lieu de repos ou de transit. La notion d’impermanence et l’artificialité sont les éléments clés de l’œuvre, qui fonctionne comme un dispositif d’images et de sons, conçus pour évoquer une relation à la fois distante et proche avec la nature.
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Isometric Slides de Carsten Höller : deux toboggans monumentaux de 12 mètres, une expérience vertigineuse pour petits et grands.
Photo : © Adrian Deweerdt
3ᵉ étage
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La bibliothèque est en feu : une bibliothèque expérimentale, un espace de recherche et de lecture inédit
En savoir plus sur cet espace
Une créature cherche la forme de son intelligence. Depuis 2011 une bibliothèque expérimentale s’élabore à partir de la lecture de ses volumes : livres, films, jeux vidéo, disques. Elle y détecte des mouvements, opérations et structures qui viennent à composer les logiques de son avancée. Comme face à un mystérieux poème, vous entrez dans la possibilité d’un monde où tout devient suspense, réfraction de signes, images de pensée, source virtuelle d’attention.
Du 7ᵉ au 9ᵉ étage
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Day Light Songs (biting the air) : une œuvre entre peinture et vitrail, d'Helen Marten, intégrée aux escaliers
En savoir plus sur l'œuvre
Day Light Songs (biting the air) est une installation conçue et pensée pour l’escalier desservant les trois niveaux supérieurs de La Tour. Composée de plusieurs couches de verre et de cadres en aluminium, l’œuvre se déploie au sein de trois baies. Day Light Songs (biting the air) n’est ni une peinture, ni un vitrail, mais un hybride entre les deux. Réalisé comme un acte d’alchimie liquide, le processus a fait appel à de multiples techniques anciennes et contemporaines : gravure à l’acide, fusion, émaillage, sablage, coloration à l’argent, sérigraphie et peinture à la main. Le profil d’une tête d’enfant domine, se trouvant à la fois au centre et à divers points de la composition, le long des cadres en aluminium. La silhouette contient le mot « mama », une référence à la mère ou au rhizome naissant. La tête de l’enfant devient l’élément d’un alphabet, une forme qui pourrait être représentative d’une série de mots parlés ou une simple lettre à partir de laquelle un éventail d’actions peut se déployer. Les formes varient selon le point d’observation, ascendant ou descendant. Une série de formes graphiques intercalées entre plusieurs ensembles de clôtures laissent deviner des signes, des diagrammes, des portraits. Suspendue, cette multitude en constante mutation de points de vue, de signes et de personnages, mélangée aux textures du verre et aux détails en métal usiné, ajoute des clés de lecture, toutes inlassablement imbriquées les unes aux autres. Cette série de peintures est conçue pour se modifier sous l’effet de la lumière entrante — peut-être une douce parabole des pouvoirs exponentiels de l’univers qui se réduit et s’étend sous nos yeux, une équation mathématique complexe faite de nombreuses pièces interconnectées.
Du 8ᵉ au 9ᵉ étage
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Les terrasses panoramiques : une vue unique sur Arles, la Camargue et les Alpilles
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Open Space : un espace pensé comme une extension de la rue, par Konstantin Grcic
En savoir plus sur cet espace
Cet espace singulier à usages multiples, imaginé comme une extension de la rue, a été conçu par le designer industriel allemand Konstantin Grcic, réputé pour ses interprétations radicales et minimalistes des objets du quotidien. Les deux étages — le 8ème est un espace intérieur et le 9ème ouvre sur la Terrasse Haute — sont conceptuellement connectés, le design évoluant harmonieusement entre les deux. Grcic a imaginé un environnement théâtral, avec des rideaux métalliques et des lumières spécialement conçues pour diviser l’espace en plusieurs zones. En s'inspirant de la rue, le designer a créé une esthétique brute, mais accueillante, qui tient compte de la nature industrielle du bâtiment et de ses surfaces métalliques. Les deux étages bénéficient d’une vue magnifique sur la Camargue, les Alpilles, et sur toute la ville d'Arles, offrant des perspectives uniques et inédites sur la ville historique, la nature environnante et le paysage.
Conseils pratiques pour profiter pleinement de votre visite :
- Récupérez gratuitement un plan du site au point info : il vous permettra de vous orienter facilement dans le Parc des Ateliers.
Si vous venez avec des enfants, un carnet de visite gratuit est disponible en libre accès au niveau 0 de La Tour. N’oubliez pas d’apporter un crayon !
Téléchargez l’application LUMA Arles : gratuite, elle propose des parcours guidés pour accompagner votre découverte.
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L'espace Open Space de l'artiste Konstantin Grcic, offre des points de vue inédits sur Arles et son paysage.
Photo : © Jonathan Mauloubier
Dans le parc paysager
Les quatre hectares de parc sont ouverts librement au public. Conçu comme un lieu de promenade et de détente, c’est aussi un espace artistique à part entière.
À l’extérieur, vous découvrirez :
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OooOoO : un skate-park phosphorescent, conçu par l’artiste KOO JEONG A
En savoir plus sur le skate-park
Sur la terrasse publique adjacente à La Tour, l’artiste coréenne Koo Jeong-A a conçu un vaste skatepark phosphorescent. Les cuves de skate sont recouvertes d’une peinture luminescente qui, à la nuit tombée, révèle toute la structure du terrain fait de courbes, et génère différentes conditions de luminosité. Cette œuvre, jouant des nouveaux codes de la culture contemporaine, aborde les notions de jeu et de performativité. OooOoO est une illustration puissante de ce que peut signifier le fait de s’engager dans une pratique avec des compétences bien réelles mêlant exercices imposés et liberté de style. Le skate est aussi une chorégraphie dans l’espace, avec sa propre vélocité et sa gestuelle. Les corps des skateurs réussissent à performer des positions remarquables d’équilibre, d’effort et d’endurance, et renouvellent radicalement l’expérience de l’espace architectural et urbain tel que nous l’appréhendons habituellement.
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Krauses Gekröse : une sculpture monumentale de 13 mètres de haut de Franz West
En savoir plus sur la sculpture
Inédite, cette sculpture de couleur rose de treize mètres de haut est installée au sol dans le jardin, entre La Tour et Les Forges. La sculpture n’a jamais été installée auparavant dans toute sa hauteur, elle n’a été montée qu’une seule fois dans l’atelier de l’artiste, à même le sol. C'est donc la première fois que l’on peut apprécier cette pièce telle qu’elle a été imaginée par l’artiste.
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Seven Sliding Doors Corridor (Outdoor Version) : une installation de Carsten Höller
En savoir plus sur l’installation
Seven Sliding Doors Corridor (Outdoor Version) se compose de sept portes coulissantes électroniques dotées, sur les deux vantaux, de surfaces miroitantes, grâce à l’effet desquelles le visiteur semble emprunter un passage sans fin. Les portes sont installées à l’intérieur d’un couloir réfléchissant qui chevauche une partie de l’étang du parc. À l’intérieur de cet espace, les portes sont placées à intervalles réguliers et sont connectées à des capteurs de mouvement qui déclenchent leur ouverture et leur fermeture lorsqu’une personne s’approche ou s’éloigne. Par conséquent, les mouvements des usagers transgressent et restreignent alternativement les limites visuelles de l’espace. Il est possible d’entrer dans l’installation par les deux extrémités du couloir, ce qui augmente la probabilité de rencontres inattendues au moment de l’ouverture et de la fermeture des portes.
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MEMORY : un sol en mosaïque monumental, créé par Kerstin Brätsch
En savoir plus sur la mosaïque
Le sol en mosaïque du Café du Parc a été réalisé à partir de peintures de Kerstin Brätsch. Imaginées par l’artiste comme des compositions monumentales tournées vers le ciel, à l’extérieur du bâtiment, ces formes puissantes dominent la vue du parc depuis La Tour. La mosaïque représente différents personnages que l’on retrouve souvent dans ses huiles sur mylar. Ces figures sont ici agrandies, démesurées, recréées, avec une nécessaire transposition à travers l’art de la mosaïque. Cette méthode et cette finalité sont inédites dans la pratique de Kerstin Brätsch. Les chemins liants les différents personnages sont constitués d’un type de mosaïque plus abstrait et d’autres éléments céramiques, inspirés des dégradés de couleur obtenus par coups de pinceau. Des motifs similaires se poursuivent jusque dans l’espace intérieur du Café du Parc, créant un continuum unifiant les deux espaces de manière saisissante.
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Orientation Platforms : un ensemble de sculptures réalisées par Liam Gillick
En savoir plus sur les plateformes
Orientation Platforms de Liam Gillick est composée de sculptures en métal à la double réalité : elles invitent à la détente et sont aussi un lieu de contemplation et de discussion, notamment autour de la sculpture elle-même. Imbriquées dans l’architecture et l’espace, elles manifestent l’inévitable friction entre la présentation et la finalité, l’utilité et l’esthétique. Ces plateformes sont également les relais d’orientation qui ponctuent le site, accompagnant les visiteurs dans leur découverte du parc.
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Membrane : une structure mécanique en forme de tour, conçue par Philippe Parreno
En savoir plus sur l'œuvre
Artiste majeur de sa génération, Philippe Parreno redéfinit de façon radicale le format de l’exposition. À travers une grande diversité de médiums – cinéma, sculpture, performance, dessin, texte –, il propose une expérience artistique singulière, jouant avec les limites spatiales et temporelles traditionnelles. Installée sur la pelouse du Parc des Ateliers, telle une antenne, Membrane est une structure mécanique en forme de tour. Elle accueille un système cybernétique doté de capacités cognitives et linguistiques inhabituelles : à partir d’un dialogue avec son environnement, elle développe un nouveau langage ainsi qu’une voix virtuelle qui se diffuse dans le parc comme un chant ténu et énigmatique. En collectant des données environnementales comme la température, l’humidité, la vitesse du vent, les niveaux de bruit, de pollution et toute vibration du sol, elle modifie ces signaux en sons qu’elle fait varier. À mi-chemin entre le vivant et la machine, Membrane est une entité hybride, une œuvre sensible, qui perçoit les variations de son milieu et s’y accorde, reflétant les rythmes de ses mondes internes et externes.
Le parc paysager est ouvert tous les jours de 7h00 à 18h30.
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Juxtaposé à La Tour, le skate-park de LUMA Arles est devenu une escale incontournable pour les amateurs de glisse et les curieux d’architecture.
Photo : © Joana Luz / Victor Picon

Seven Sliding Doors Corridor (Outdoor Version), de l'artiste Carsten Höller, est un couloir de sept portes miroitantes installé au-dessus de l’étang du parc. Réagissant aux mouvements des visiteurs, il crée l’illusion d’un passage infini et transforme la perception de l’espace.
Photo : © Adrian Deweerdt
Des visites et ateliers gratuits
À l’occasion d'événements nationaux comme la Nuit européenne des Musées, les Journées européennes du patrimoine, les Journées nationales de l’architecture et d’autres rendez-vous, LUMA Arles propose des visites et des ateliers gratuits destinés à tous les publics.
Ces moments permettent aux enfants comme aux adultes de participer à des ateliers créatifs, d’explorer autrement des thématiques artistiques et des pratiques contemporaines, ou encore de prendre part à des visites commentées qui mettent en lumière les expositions en cours, l’histoire du lieu et son architecture.
À l’occasion des Journées du patrimoine, LUMA Arles ouvre ses portes pour des visites dédiées à l’histoire et à l’architecture singulière du Parc des Ateliers.
Photo : © Adrian Deweerdt
Des ateliers créatifs gratuits pour petits et grands.
© Adrian Deweerdt
Lors du passage de la flamme olympique à Arles, LUMA Arles a organisé des ateliers participatifs autour du sport et de la création.
© Victor & Simon / Grégoire d'Ablon
Événement incontournable, la Nuit européenne des Musées rassemble chaque année des milliers de visiteurs à LUMA Arles.
© Victor & Simon / Grégoire d'Ablon
La librairie
Au niveau -2 de La Tour
On y trouve un large choix de publications consacrées à l’art, à l’architecture, au design, aux sciences humaines et à la culture visuelle, mais aussi les catalogues d’expositions et les éditions signées LUMA.
En complément, la librairie propose une sélection d’objets, de cartes postales et de créations originales. Les enfants disposent également d’un espace dédié, avec des livres et des articles spécialement sélectionnés pour eux.
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Photo : © Adrian Deweerdt
Carte Arlésien : accès gratuit aux expositions
LUMA Arles met à disposition des habitants d’Arles une Carte Arlésiens offrant un accès gratuit à l’ensemble des expositions.
Cette carte, nominative et annuelle, est délivrée sur présentation d’un justificatif de domicile.